Batterie Toshiba Satellite P200 5200mAh
Publikováno 17.09.2014 v 04:46 v kategorii portablesbatterie, přečteno: 149x
Si Nvidia se refuse à parler de process de fabrication, nous supposons que la raison du retard de Volta est à chercher de ce côté. Pascal devra donc se contenter du 20 nanomètres de TSMC, ce qui limitera quelque peu les possibilités de Nvidia par rapport à ses plans originaux pour la même période. Pour aller plus loin que les GPU Maxwell qui seront fabriqués en 20nm, Nvidia devra poursuivre la progression de l'efficacité énergétique, mais ce n'est pas tout.
Nvidia explique que certains développements entrepris pour Volta étaient prêts et pourront être proposés comme prévus à travers les GPU Pascal. C'est le cas des technologies NVLink et du DRAM stacking.
NVLink, qui a été développé en partenariat avec IBM, devrait dans un premier temps rester spécifique au marché professionnel, mais le DRAM stacking fera son apparition du côté des dérivés grand public. Probablement uniquement dans le très haut de gamme au départ, mais Nvidia insiste sur le fait que la technique est utile pour tous les segments de marché. En dehors du coût et d'un travail important nécessaire pour assurer un assemblage fiable, ce recours au DRAM stacking ne présente que des avantages, aucun inconvénient selon Nvidia. Son implémentation généralisée n'est donc qu'une question de temps et de réduction progressive des coûts.
Concernant le prototype de Pascal qui a été présenté, il s'agit d'un ;mechanical sample; qui n'est pas encore fonctionnel mais qui est utilisé par Nvidia pour développer un nouveau format de module ;carte graphique;. Sur ce module Pascal, nous pouvons observer le GPU avec ses 4 assemblages de puces mémoire qui prennent place sur le même packaging et sont connectés via un ;interposer;. Sur les côtés du module sont visibles les VRM nécessaires pour alimenter un GPU haut de gamme tel que devrait l'être Pascal. Nvidia précise que ce module n'aura pas de problème à délivrer au moins 300W.
Si aucun connecteur n'est visible au premier abord c'est parce qu'ils se situent en fait au dos, Nvidia ayant opté pour un format de type mezzanine qui consiste à superposer 2 PCB, avec un ou plusieurs connecteurs entre ceux-ci. Sur le module actuel, Nvidia précise que 2 connecteurs sont exploités.
Pourquoi ce changement de format ? Pour faciliter l'implémentation de NVLink, qui pourrait être exclusive au format mezzanine, mais également parce que ce dernier est plus fiable, notamment lorsqu'il est question de laisser les assembleurs de serveurs monter leur propre radiateur. Nvidia n'abandonne cependant pas le format ;carte PCI Express; pour Pascal, il restera également disponible, même sur le marché professionnel.
Sur ces schémas nous pouvons clairement observer 4 liens NVLink. Nvidia nous a précisé qu'il s'agissait d'un minimum et que certains modules Pascal, ou ses successeurs, pourraient en offrir plus, 8, 16… Il n'est d'ailleurs pas impossible que Nvidia en profite à l'avenir pour segmenter sa gamme professionnelle comme le fait aujourd'hui Intel avec les Xeon 2P/4P/8P. A noter que tous les liens peuvent être combinés pour former un très large bus de communication vers le CPU et/ou exploités pour connecter plusieurs GPU entre eux.
Chaque lien NVLink correspond à un bloc de 8 paires de lignes bidirectionnelles de type point-à-point. Une approche similaire à celle de l'HyperTransport et du QPI. Là où le bus PCI Express 3.0 16x apporte 16 Go/s dans chaque direction, l'ensemble NVLink pourra atteindre entre 80 et 200 Go/s. Nvidia indique par ailleurs que les déplacements de données à travers NVLink seront plus efficaces sur le plan énergétique que le PCI Express. Les premiers composants autres que Pascal qui supporteront NVLink seront de futurs CPU Power d'IBM. Nvidia précise par contre être en discussion avec d'autres fabricants de CPU, autres qu'Intel, mais sans en dire plus.
Enfin, nous avons interrogé Nvidia par rapport au recul du support complet de la mémoire unifiée qui était initialement prévu pour Maxwell mais est dorénavant annoncé pour Pascal. Ses responsables nous ont répondu que ce support avait bien été repoussé mais qu'il était présent partiellement depuis Kepler, reposant en partie sur une implémentation logicielle. Ils nous promettent que cette fois ce sera la bonne et que le dernier bloc nécessaire à la prise en charge matérielle complète de la mémoire unifiée fera enfin son apparition avec Pascal et NVLink.
L'an passé, Nvidia nous avait présenté une roadmap qui mettait en avant l'arrivée des GPU Maxwell en 2014, nous y sommes, ainsi que des GPU Volta en 2016. Pour Maxwell, Nvidia mentionnait alors le support de la mémoire unifiée et pour Volta de la mémoire 3D ou stacked DRAM, qui consiste à empiler plusieurs puces mémoire pour former un module dont la bande passante va exploser.
A noter que dans ces présentations, le nom de l'architecture ou de la génération représente toujours le plus gros GPU de la famille. La nouvelle roadmap de Nvidia est quelque peu différente :
DirectX 12 est rentré dans l'air du temps et dorénavant mis en avant comme le point de communication principal pour la génération Maxwell. Etrangement la mémoire unifiée passe vers la génération suivante qui change de nom. Exit Alessandro Volta, bonjour Blaise Pascal. La génération Volta a en réalité été repoussée et une génération intermédiaire introduite. Avec Pascal, Nvidia entend s'attaquer aux goulets d'étranglements des GPU actuels, au moins sur 2 fronts.
Tout comme cela était mis en avant pour Volta, Pascal bénéficie du DRAM stacking pour faire exploser la bande passante de sa mémoire locale. Nvidia précise avoir recours à la technique ;3D chip-on-wafer integration; et estimer pouvoir atteindre une bande passante de 1 To par seconde en 2016. La quantité de mémoire pourra également progresser significativement, il est question de 2.5x plus de mémoire qu'aujourd'hui, soit probablement 10 Go dans le cas des GeForce et près de 30 Go dans le cas des cartes professionnelles. Tout ceci se ferait avec une progression de 4x de l'efficacité énergétique liée à la mémoire et à son interface.
L'autre point sur lequel Nvidia travaille pour Pascal est l'interconnexion. Le bus PCI Express représente une limitation importante au niveau de la communication avec le CPU et entre GPU. Dans le cas d'une utilisation grand public, ce n'est pas un problème, mais cela peut le devenir dans d'autres situations liées au GPU computing.
Pour contourner ce problème et avoir le contrôle de sa propre interconnexion, Nvidia a mis au point NVLink. Il s'agit d'un bus de communication dont les protocoles sont annoncés similaires à ceux du PCI Express, prévus pour la mémoire unifiée et la cohérence des caches dès la génération 2.0, probablement pour le successeur de Pascal. NVLink pourra offrir 5 à 12X la bande passante du PCI Express, probablement avec une latence réduite. Dans un sens, NVLink peut être vu commme une version musclée et plus flexible du lien SLI.
NVLink pourra être implémenté pour la communication entre GPU, le schéma de Nvidia indique qu'au moins 4 GPU pourront ainsi disposer d'une connexion directe. Il sera également possible d'utiliser NVLink pour offrir au GPU un accès plus performant au CPU. Nvidia précise d'ailleurs avoir collaboré avec IBM lors du développement du NVLink et que ce dernier sera implémenté dans de futurs CPU POWER. Nous pouvons également raisonnablement estimer que Nvidia proposera ce support sur ses futurs SoC/CPU dérivés de ses propres cores ARMv8 Denver. Il est par contre improbable qu'Intel propose un jour une connexion NVLink sur ses Xeon.
Pour terminer, Nvidia indique déjà disposer dans ses labos des premiers prototypes de Pascal. Une plateforme relativement compacte dont nous ne savons cependant pas si elle est réellement fonctionnelle. Nous pouvons y apercevoir 4 modules de stacked DRAM et Nvidia précise que cette carte Pascal lui permet de travailler sur NVLink. Sur la face avant du PCB, aucune interconnexion n'est cependant visible, celle-ci étant probablement au dos. Rien ne dit cependant que c'est ce format qui sera retenu pour la version commerciale de Pascal.
Si chiama PageFair, ha appena ottenuto 400.000 dollari in finanziamenti ed è una start-up che promette di arginare il "problema Adblock" per i siti web di tutto il mondo. La società fondata nel 2012 propone ai gestori di siti strumenti analitici per capire quanti utenti bloccano gli annunci, per tentare poi di convincerli a cambiare abitudini.
Usando PageFair sarà poi possibile visualizzare un pop-up, proprio una delle cose che gli utenti Adblock vogliono evitare, con l'invito a inserire il sito in whitelist e le istruzioni su come fare. La società si propone come principio un giusto trattamento "per gli utenti e per i gestori dei siti web".
Al momento la società ha circa un migliaio di clienti, per i quali il problema riguarda circa il 20% del pubblico. Una cifra enorme che si traduce nel 20% in meno di fatturato, almeno per quei siti più grandi che vendono pubblicità con il modello CPM; si vende cioè l'esposizione del banner, non il click sullo stesso.
Un grande sito con circa 10 milioni di visualizzazioni al giorno e tre banner per pagina, in altre parole, potrebbe perdere fino a 20.000 euro al giorno secondo Blanchard. Una cifra impressionante ma realistica.
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Parliamo di un danno potenzialmente molto rilevante, e considerato il ritmo con cui cresce la diffusione di questi strumenti la questione diventa ogni giorno più pressante. PageFair riporta infatti che il blocco della pubblicità online cresce del 43% ogni anno. La speranza per ora viene da tablet e smartphone, perché pare che questa brutta abitudine sia molto meno diffusa da parte di chi usa i dispositivi mobili.
La guerre devant et derrière les écrans. Pour les fabricants de consoles, depuis quatre mois, voire un peu plus pour ce qui est de Nintendo, la lutte pour avoir la mainmise sur le marché du jeu vidéo, côté hardware, bat son plein. La nouvelle génération de machines n’a pour l’instant pas fait changer les habitudes de gamers attachés à leur marque préférentielle. Si tout le monde reste dans la course, Nintendo n’est cependant pas loin du game over. Avec 5,9 millions d’unités vendues de par le monde en 2013, l’acteur historique des jeux vidéo fait presque aussi bien que Sony qui a annoncé avoir écoulé 6 millions de PS4… en à peine quatre mois.
Microsoft est moins prolixe sur son commerce. Si le géant américain a des rêves de grandeur, il reste, pour le moment, dans la roue de Sony. Sur le marché américain, en février, la PS4 avait une force de vente supérieure de 10 % mais c’était bien la One qui générait le plus de revenus car plus chère d’une centaine d’euros. Le différentiel reste globalement à l’avantage de Sony qui écoule sa dernière PlayStation dans 49 pays tandis que la troisième Xbox n’est disponible que dans 13 États (26 nouvelles destinations sont prévues pour septembre).
« Dans le monde des jeux vidéo, il y a des jeux first party et third party. Et puis il y a Titanfall, explique Cédric Mimouni, responsable marketing partenaire chez Microsoft. Il met en avant les capacités de la machine. C’est une vitrine technologique et un premier pas vers un énorme partenariat avec Electronic Arts. »
L’éditeur de jeux américain a réservé un titre de tout premier plan à la One (il est aussi sorti sur PC). Nanti d’une réputation flatteuse, après avoir trusté les récompenses sur les salons les plus importants en 2013 – E3, Tokyo Game Show, Gamescom –, Titanfall est une pure création capable de faire pencher la balance du côté de la Xbox. Les développeurs de Respawn Entertainement – des anciens d’Infinity Ward qui ont travaillé sur la juteuse licence Call of Duty – ont pris la mesure du potentiel de la One pour proposer un FPS, un jeu de tir subjectif, nouvelle génération exclusivement multijoueurs.
« C’est ce qui fait la spécificité de Titanfall qui est amené à durer dans le temps. Le multijoueurs et le online sont des clés de voûte de la One. Infinity Ward a su exprimer la richesse de notre console, poursuit Cédric Mimouni qui apporte des précisions sur le timing du lancement. Mars, c’est une période creuse. Le sortir à ce moment-là, c’était stratégique. » Pour lui offrir la meilleure exposition possible.
Le jeu d’Electronic Arts marque le vrai départ des hostilités entre Microsoft et Sony pour s’approprier le marché des consoles next gen. Une lutte que Nintendo semble condamné à regarder de loin. Une lutte appelée à durer des années avant de désigner un vainqueur.
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